Omotola Jalade Ekeinde
Naissance | (46 ans) Nigeria |
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Nom dans la langue maternelle | Omotola Jalade Ekeinde |
Nom de naissance | Omotola Jalade |
Nationalité | nigériane |
Domicile | Lagos |
Formation | Université Obafemi-Awolowo Yaba College of Technology (en) |
Activités | Actrice, chanteuse, philanthrope |
Période d'activité | Depuis |
Cheveux | Cheveux noirs |
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Yeux | |
Site web | www.omotola.tv |
Distinctions | Liste détaillée Best of Nollywood Awards 2011 Ghana Movie Awards (en) 2012 Golden Icons Academy Movie Awards (en) 2013 Nollywood Movies Awards (en) Africa Movie Academy Awards |
Films notables | Amina (en), Dernier Vol pour Abuja, A Private Storm (en), Ijé (en), Ties That Bind (en), Alter Ego (en), Blood Sisters, The Tribunal (en), Mortal Inheritance (en), Scores to Settle (d), Die another day (d) |
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Omotola Jalade Ekeinde, née le à Lagos (Nigeria), est une actrice, chanteuse et philanthrope nigériane. Tournant à Nollywood, elle a joué dans plus de 300 films.
Biographie
Orpheline de père, elle commence comme mannequin pour apporter des ressources financières à sa famille, puis fait ses débuts au cinéma à 17 ans, en 1995. Elle enchaîne ensuite les tournages à Nollywood, l'industrie cinématographique du Nigeria[1]. Elle compte plus de 300 interprétations à son actif, et devient dans son pays, l'actrice la plus célèbre de sa génération[2].
Surnommée Omosexy[3] (surnom qu'elle reprend à son compte dans sa signature), ses formes généreuses participent à son succès : « Elle représente quelque chose physiquement », explique Serge Noukoué, organisateur d'un festival Nollywood Week à Paris en 2014, « Ses rondeurs plaisent car au Nigeria on assimile la femme forte à la femme puissante, celle qui réussit et qui domine. »[2]. En 2012, elle interprète un des principaux rôles dans le film de Obi Emelonye, Last Flight to Abuja qui se place en tête du box-office africain cette année-là. En 2013, elle est la première nigériane à intégrer la liste des 100 personnes qui seraient les plus influentes au monde selon le Time[3].
Causes et volontariat
Elle s'engage dans différentes causes humanitaires, étant ambassadrice des Nations unies pour le Programme alimentaire mondial depuis 2005[1],ayant mené plusieurs campagnes pour Amnesty International[2], et ayant participé à une vidéo de la campagne ONE en 2015, contre le sexisme[4] [5].
Vie privée
Elle est mariée à un pilote de ligne, et est devenue une femme d'affaires.
Principaux films
Titre | Année | Rôle | Notes |
Venom of Justice | 1995 | ||
Mortal Inheritance | 1996 | ||
Scores to Settle | 1998 | ||
Lost Kingdom | 1999 | ||
Kosorogun | 2002 | ||
When Love Dies | 2003 | Mary | |
Under Fire | |||
The Outsider | |||
Rescue | |||
Blood Sisters | avec Genevieve Nnaji | ||
Royal Family | 2004 | ||
Die Another Day | Queen | ||
A Kiss from Rose | |||
Games Women Play | 2005 | ||
Brave Heart | |||
The Revelation | 2007 | ||
Sand in My Shoes | |||
Careless Soul | |||
Yankee Girls | 2008 | ||
Temple of Justice | |||
My Last Ambition | 2009 | Amanda | |
Ije: The Journey | 2010 | Anya Opara Michino | avec Genevieve Nnaji, Odalys Garcia, Ulrich Que |
Ties That Bind | 2011 | avec Ama K. Abebrese, Kimberly Elise | |
Dernier Vol pour Abuja | 2012 | Suzie | avec Hakeem Kae-Kazim, Jim Iyke, Jide Kosoko |
Amina | Amina | ||
Hit the Floor (série TV) | 2013 | Omotola |
Références
- ↑ a et b (en-US) « Omotola Jalade Ekeinde – The Nigerian Official Selection Committee (NOSC) » (consulté le )
- ↑ a b et c Blanc-Gras 2014, Le Monde.
- ↑ a et b Vanguard 2013, Courrier international.
- ↑ Ngako 2015, Le Monde.
- ↑ Les 50 influents : Omotola Jalade Ekeinde, chanteuse et actrice, Jeune Afrique, 13 mai 2014
Sources
- (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Omotola Jalade Ekeinde » (voir la liste des auteurs).
- Rédaction Vanguard, « Cinéma. Omosexy, reine de Nollywood », Courrier international, traduit du Vanguard, (lire en ligne).
- Julien Blanc-Gras, « Omotola, pétroleuse du Nigeria », Le Monde, (lire en ligne).
- Diane-Audrey Ngako, « La pauvreté et le sexisme expliqués au gotha africain des affaires », Le Monde, (lire en ligne).
Liens externes
- Ressources relatives à l'audiovisuel :
- Africultures
- Allociné
- IMDb
- Rotten Tomatoes
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