Neo Security

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Neo Security
Création 2009
Disparition 31 juillet 2012
Forme juridique Société par actions simplifiée[1]Voir et modifier les données sur Wikidata
Siège social Paris
Drapeau de la France France
Direction Jean-Christophe Chwat
Activité Sécurité privée
Effectif 5 000 (2012)
SIREN 431657568Voir et modifier les données sur Wikidata
Site web http://www.neo-security.fr/

Chiffre d'affaires 158,6 millions d'euros (2009)
Résultat net -26 millions d'euros (2009)
modifier - modifier le code - voir Wikidata 


Neo Security est le deuxième groupe français de sécurité, créé en 2009, il dispose d'un réseau de 40 agences et antennes en France pour environ 5 000 agents[2].

Historique

L'entreprise est créée au début 2009 après le rachat par Jean-Michel Houry des filiales françaises de G4S. Le groupe employant alors environ 5 000 personnes met en place dans les mois qui suivent un plan social aboutissant à la suppression de 798 postes d'agents et employés[3].

Le , Neo Security vient de se déclarer en cessation de paiements[4]. Le , l'État serait disposé à faire un effort financier supplémentaire pour sauver les 5 000 emplois et assurer la pérennité de l'activité du groupe[5]. Le , le tribunal de commerce de Paris a validé le retrait de la demande de cessation de paiement du groupe[6],Jean-Michel Houry démissionne dans la foulée. Le , Neo Security se déclare de nouveau en cessation de paiement, et dès le lendemain en liquidation avec poursuite d'activité jusqu'au . Les informations dans la presse et du côté des syndicats indiquent un redressement judiciaire mais c'est pourtant bel et bien une liquidation.

Trois repreneurs se présentent :

  • Alyan
  • Fiducial
  • G4S (juste pour le contrat de l'ambassade américaine)

Le , Fiducial retire son offre faute d'obtenir une aide de l'état mais revient dans la course le . Alyan retire son offre le et deux autres repreneurs, Caravelle et Sofinord se déclarent intéressés[7].

Le , Caravelle retire son offre. Fiducial et Sofinord sont les deux derniers candidats potentiels pour la reprise de l'entreprise. G4S de son côté est candidat à la reprise du contrat de la surveillance de l'ambassade des États-Unis. L'offre de Fiducial, compatible avec celle de G4S sauvegarderait 3 140 emplois contre 2 180 pour l'offre de Sofinord[8]. La reprise par cette dernière est autorisée par la tribunal de Commerce de Paris le [9]. Neo Security disparaît le , racheté par Fiducial Private Security.

Activités du groupe

  • Surveillance humaine et électronique
  • Sécurité mobile
  • Sécurité incendie
  • Sureté aéroportuaire et portuaire
  • Multiservices à l'entreprise
  • Protection rapprochée
  • Détournement de fonds privées

Notes et références

  1. Sirene (registre national des sociétés).Voir et modifier les données sur Wikidata
  2. Néo Sécurité supprime 798 postes dans Le Figaro du 25 juin 2009
  3. Néo Sécurité ne traîne pas pour licencier dans L'Humanité du 27 juin 2009
  4. « NEO Sécurité : la CGT dénonce une « gestion douteuse », l'entreprise réfute », Les Echos, le 25 avril 2012
  5. « Neo Sécurité: l'Elysée promet l'aide de l'État en échange d'efforts de gestion », LePoint.fr, du 26 avril 2012
  6. « Néo Sécurité n'est plus en cessation de paiement, le PDG sur le départ », Le nouvel Observateur, le 3 mai 2012
  7. « Neo Security : les derniers épisodes de l'histoire », sur Les Echos, (consulté le )
  8. « Fiducial et Sofinord derniers candidats à la reprise de Neo Security », sur Usine Nouvelle, (consulté le )
  9. « Fiducial reprend l'essentiel de l'activité de Neo Security », sur www.lemonde.fr,

Annexes

Articles connexes


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