Louis de Chantemerle

Louis de Chantemerle
Fonctions
Sénateur de la Troisième République
Allier
-
Joseph Chantemille
Conseiller général de l'Allier
Canton de Jaligny-sur-Besbre
-
Maire
Cindré
Biographie
Naissance
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CoulangesVoir et modifier les données sur Wikidata
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 74 ans)
Saint-RaphaëlVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
françaiseVoir et modifier les données sur Wikidata
Activité

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Gaspard Laurent Louis Jacquelot de Chantemerle communément appelé Louis de Chantemerle est un homme politique français, né le à Coulanges (Allier) et décédé le à Saint-Raphaël (Var).

Biographie

Louis Jacquelot de Chantemerle est le fils de Gaspard Louis Jacquelot de Chantemerle[1] (1783-1818) et de Marie Antoinette Préveraud de la Boutresse (1797-1878), tous deux issus de familles notables du Bourbonnais. Son grand-père maternel, Hector-François Préveraud de La Boutresse fut conseiller, puis président de chambre à la cour de Riom (1811-1830) et député de l'Allier (1815-1827).

Juge de paix, il est maire de Cindré et conseiller général du canton de Jaligny-sur-Besbre. En 1876, il est élu sénateur de l'Allier et siège à droite, avec les monarchistes. Il est battu en 1885 et quitte la vie politique.

Notes et références

  1. Selon Charondas fausse noblesse et bourgeoisie du XVIIe siècle, ne vote avec la noblesse en 1789 (Charondas, À quel titre, volume 37, 1970). Admise à l'ANF en 1935 comme issue d'un membre de la compagnie écossaise des gardes du corps de Louis XIV en 1660 (*AN BIII31). L'ANF a reconnu la noblesse de la famille Jacquelot dans sa séance du 26 mai 1935. En 2019 elle ne figure toutefois plus dans la Table des familles admises au sein de cette association. Un membre de cette famille était inscrit dans la compagnie écossaise des gardes du corps de Louis XIV en 1660, l'inscription entraînant le principe de noblesse (Cf. Catalogue des Gardes du corps du roi en 1660. SHD. Compagnie écossaise Page 6. Jacquelot). À noter toutefois qu'il y avait des non-nobles dans les gardes du corps du roi et que cette fonction militaire n'anoblissait pas, de même la convocation pour l'ordre de la noblesse en 1789 n'est pas une preuve de noblesse, les roturiers possédant fief étaient convoqués à charge pour eux de faire leurs preuves de noblesse pour voter.

Voir aussi

Bibliographie

  • « Louis de Chantemerle », dans Adolphe Robert et Gaston Cougny, Dictionnaire des parlementaires français, Edgar Bourloton, 1889-1891 [détail de l’édition]

Liens externes

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