Limite administrative de la généralité de Montauban

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La limite administrative de la généralité de Montauban est la frontière géographique à l'intérieur de laquelle s'exerce le pouvoir administratif de la généralité de Montauban, entre 1635 et 1790. Jusqu'en 1715, la généralité de Montauban couvre un territoire correspondant environ à celui de l'Aveyron, du Lot et d'une partie du Tarn et Garonne pour la partie nord-est, et à un certain nombre de territoires recoupant les départements actuels du Gers, du Lot-et-Garonne, de l'Ariège, des Hautes-Pyrénées et de la Haute-Garonne pour la partie sud-ouest. A partir de 1716, la partie sud-ouest est retirée pour former la généralité d'Auch.

Comparaison avec les circonscriptions actuelles

Il est difficile de faire coïncider les cartes des administrations de l'Ancien-Régime avec celles des circonscriptions contemporaines ; d'autant qu'aux provinces, généralités et paroisses, entre autres, se sont substituées, sans toutefois se superposer ni dans leurs compétences ni dans leurs limites géographiques, les régions, les départements et les communes. Les cartes géographiques anciennes, mais aussi certains documents administratifs comme les dénombrements de paroisses et de feux, permettent toutefois d'approcher au plus près ces différences issues de l'histoire.

Les subdivisions de la généralité sont alors constituées par les élections, unités de base que permettent de distinguer les couleurs sur les cartes.

Période de 1635 à 1715

Créée en 1635, la généralité de Montauban, la plus grande du royaume, avait un territoire initial qui aurait approximativement la forme des ailes déployées d'un papillon. 

  • La partie nord-est, constituée des anciennes provinces du Quercy et du Rouergue, correspond aujourd'hui au territoire des départements de l'Aveyron, du Lot et pour partie à celui du Tarn et Garonne ;
  • La partie sud-ouest, parsemée d'enclaves, regroupe l'Armagnac, l'Astarac et la Lomagne, essentiellement sur les territoires du Gers et du Lot-et-Garonne, le Pays de Foix pour l'Ariège, mais aussi une multitude de territoires à la manière d'un puzzle, les élections du Comminges, du Nébouzan et de Rivière-Verdun, sur ce qui correspond aujourd'hui pour partie aux départements des Hautes-Pyrénées et de la Haute-Garonne.
Carte des subdivisions administratives de la généralité de Montauban entre 1635 et 1715.

Période de 1716 à 1790

En 1716, la partie sud-ouest est détachée de la généralité de Montauban pour former notamment la Généralité d'Auch. 

Réduite au Quercy et au Rouergue, sous le nom de Haute-Guyenne, elle se voit adjoindre la Vicomté de Turenne rattachée à l'élection de Figeac en 1736.

Carte des subdivisions administratives de la généralité de Montauban entre 1716-1790.

Documents originaux ayant permis l'élaboration de ces cartes sont les suivants

  • Carte de Hubert Jaillot Les généralités de Montauban et de Toulouse édition de 1717[1];
  • Carte de Capitaine La généralité de Montauban de 1785;
  • Dénombrement du royaume par généralités, élections, paroisses et feux de Claude Saugrain, éditions de 1709 et 1735[2].

Bibliographie

  • L'Atlas Historique du Languedoc de M.Elie Pélaquier [3]
  • La grande généralité de Montauban sous Louis XIV de M. Patrick Ferté[4]
  • Paroisses et communes de France, l'Ariège de Claudine Pailhès[5]

Articles connexes

Références

  1. « carte hubert jaillot la généralité de montauban », sur www.google.fr (consulté le )
  2. « dénombrement de saugrain - Recherche Google », sur www.google.fr (consulté le )
  3. « Atlas historique de la province de Languedoc »
  4. Patrick Ferté, La grande généralité de Montauban sous Louis XIV (lire en ligne)
  5. Claudine Pailhès, Paroisses et communes de France, l'Ariège
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