Labid

Cet article est une ébauche concernant la poésie.

Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations des projets correspondants.

Si ce bandeau n'est plus pertinent, retirez-le. Cliquez ici pour en savoir plus.
Si ce bandeau n'est plus pertinent, retirez-le. Cliquez ici pour en savoir plus.

Cet article ne cite pas suffisamment ses sources ().

Si vous disposez d'ouvrages ou d'articles de référence ou si vous connaissez des sites web de qualité traitant du thème abordé ici, merci de compléter l'article en donnant les références utiles à sa vérifiabilité et en les liant à la section « Notes et références ».

En pratique : Quelles sources sont attendues ? Comment ajouter mes sources ?

Labid
Biographie
Naissance
Vers Voir et modifier les données sur Wikidata
Décès
Vers ou Voir et modifier les données sur Wikidata
Nom dans la langue maternelle
أبو عقيل لَبيد بن ربيعة بن مالك العامِري ou لَبِيد بن ربيعة بن مالكVoir et modifier les données sur Wikidata
Activités
Poète, écrivainVoir et modifier les données sur Wikidata
Œuvres principales
Mu'allaqât (d)Voir et modifier les données sur Wikidata

modifier - modifier le code - modifier WikidataDocumentation du modèle

Labid ben Rabi'a (arabe : لَبيد بن ربيعة بن مالك أبو عقيل العامِري) était un poète arabe de l'époque pré-islamique, qui aurait vécu de 560 à 661 apr. J.-C.

Biographie

Labid appartenait à la tribu des Beni'Amir ben Sa'sa'a ; il est décrit comme un guerrier valeureux et généreux, défenseur des siens. Ses textes mettent en scène de nombreuses batailles. Ses talents de poète lui servent également à la diplomatie : proche des ghassanides, il put cependant éviter que le roi lakhmide en place, d'abord favorable aux Beni Asad, ne prenne parti contre eux.

Lui et les siens se convertirent à l'islam vers 629 ; il renonça alors à la poésie. Il se serait éteint à Koufa, âgé de plus de cent ans.

Extrait

Voici, dans sa mu'allaqât, deux petits extraits traduits par Pierre Larcher qui montrent l'importance qu'il accorde à la tribu (v. 81-82).

Chaque peuple a sa loi et, pour sa loi, un guide!

Ils ne sont pas flétris ni leur geste abolie
Leur patience, avec la passion, ne fléchit pas!

Référence

  • Les Mu'allaqât, Les Sept poèmes pré-islamiques, préfacés par André Miquel, traduits et commentés par Pierre Larcher, collection Les immémoriaux, Fata Morgana (2000).

Voir aussi

Liens externes

  • Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistesVoir et modifier les données sur Wikidata :
    • Britannica
    • Hrvatska Enciklopedija
    • Universalis
    • Visuotinė lietuvių enciklopedija
  • Notices d'autoritéVoir et modifier les données sur Wikidata :
    • VIAF
    • ISNI
    • BnF (données)
    • IdRef
    • LCCN
    • GND
    • Pays-Bas
    • Israël
    • Suède
    • Vatican
    • Norvège
    • WorldCat
  • icône décorative Portail de la poésie
  • icône décorative Portail du haut Moyen Âge