Daphné Vaudoyer

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Daphné Vaudoyer
Biographie
Naissance
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 80 ans)
7e arrondissement de ParisVoir et modifier les données sur Wikidata
Nom de naissance
Daphné Marie Violette VaudoyerVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
françaiseVoir et modifier les données sur Wikidata
Activités
Écrivaine, traductrice, éditriceVoir et modifier les données sur Wikidata
Père
Jean-Louis VaudoyerVoir et modifier les données sur Wikidata
Fratrie
Geneviève Vaudoyer (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
Distinction
Prix Roland-de-Jouvenel ()Voir et modifier les données sur Wikidata

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Daphné Doublet-Vaudoyer, née le à Paris et morte le dans la même ville, est une traductrice et éditrice française.

Biographie

Fille de Jean-Louis Vaudoyer et descendante des architectes Antoine Vaudoyer, Léon Vaudoyer, Alfred Vaudoyer et parente de Georges Vaudoyer, Daphné Vaudoyer contribue naturellement avec Barry Bergdoll (en), Antoinette Le Normand-Romain et Marie-Laure Crosnier Leconte à l'exposition qui leur est dédiée en au Musée d'Orsay[1] et à l’ouvrage intitulé Les Vaudoyer  : Une dynastie d'architectes, Réunion des Musées Nationaux (ISBN 9782711824861).

Elle a notamment traduit des ouvrages de l'historien d’art Robert Goldwater sur l'artiste Paul Gauguin. En , elle publie le journal de son aïeule Geneviève Bréton (1848-1918)[2]. L'ouvrage remporte le prix Prix Roland de Jouvenel de l’Académie française[3].

L'ouvrage est traduit en anglais dans une version augmentée sous le titre : In the Solitude of My Soul : The Diary of Genevieve Breton, 1867-1871. Ce journal conte la relation émouvante et tragique de son auteur avec le jeune artiste Henri Regnault ; il constitue également un document historique sur la vie sociale, culturelle et politique sous le Second Empire en France. Avec pour toile de fond le conflit entre la France et la Prusse, les difficultés et les dangers du siège de Paris et de la Commune[4].

Suivant les instructions laissées avant sa mort en par Geneviève Breton, la version en anglais réincorpore des éléments qui avaient été omis dans l'édition française[4].

Références

  1. Musée d’Orsay, Les Vaudoyers : une dynastie d’architectes, Du 22 octobre 1991 au 12 janvier 1992.
  2. Jean-Louis Le Breton, Journal-1867-1871.
  3. Académie française, Daphné Vaudoyer.
  4. a et b (en) Bibliovault.org.

Liens externes

  • Ressource relative à la littératureVoir et modifier les données sur Wikidata :
    • Académie française (lauréats)
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