Étienville
Étienville | |
L’église Saint-Georges. | |
Blason | |
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Normandie |
Département | Manche |
Arrondissement | Cherbourg |
Intercommunalité | Communauté de communes de la Baie du Cotentin |
Maire Mandat | Matthieu Giovannone 2020-2026 |
Code postal | 50360 |
Code commune | 50177 |
Démographie | |
Gentilé | Étienvillais |
Population municipale | 384 hab. (2021 ) |
Densité | 52 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 49° 22′ 41″ nord, 1° 26′ 09″ ouest |
Altitude | Min. 2 m Max. 30 m |
Superficie | 7,36 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes |
Élections | |
Départementales | Canton de Bricquebec-en-Cotentin |
Législatives | Troisième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | 50177.campagnol.fr |
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Étienville est une commune française, située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de 384 habitants[Note 1].
Géographie
La Bonneville | Orglandes | Picauville (comm. dél. de Gourbesville et Amfreville) |
La Bonneville | Picauville (propre territoire) | |
La Bonneville, Les Moitiers-en-Bauptois | Les Moitiers-en-Bauptois | Picauville (propre territoire) |
Climat
Pour des articles plus généraux, voir Climat de la Normandie et Climat de la Manche.
En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Normandie (Cotentin, Orne), caractérisée par une pluviométrie relativement élevée (850 mm/a) et un été frais (15,5 °C) et venté[3]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat maritime », correspondant au Cotentin et à l'ouest du département de la Manche, frais, humide et pluvieux, où les contrastes pluviométrique et thermique sont parfois très prononcés en quelques kilomètres quand le relief est marqué[4].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 11,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 883 mm, avec 13,3 jours de précipitations en janvier et 7,2 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Sainte-Marie-du-Mont à 15 km à vol d'oiseau[5], est de 11,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 890,0 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].
Urbanisme
Typologie
Étienville est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[9],[10],[11]. La commune est en outre hors attraction des villes[12],[13].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (98,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (98,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (62,8 %), prairies (18 %), terres arables (17,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,8 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Aitinvilla vers 1165[15], Aitinville aux XIIe et XIIIe siècles[16], parrochia Sancti Georgii de Aitinvilla en 1226[17], parrochia de Ethinvilla en 1268[18], Aytinvilla en 1278[19], Etyvilla en 1332[20], Esteevilla en 1351 et en 1352[21], Estienville en 1556[22], Etienville en 1716[23], Estienville en 1719[24], Etienville entre 1753 et 1785[25].
Le gentilé est Étienvillais.
Histoire
Antiquité
La voie romaine Alauna-Cosedia franchissait l'Ouve et son vaste marais par un pont long, architecture unique et inédite qui n'a pas actuellement d'équivalent technique recensé au sein de l'Empire romain. Le pont, situé au sud du château de la Cour, était long de 750 mètres et haut de plus d'un mètre. Une voie « lourde » large de sept mètres, réservée aux convois attelés, était doublée en rive est d'une piste cavalière d'environ quatre mètres, au revêtement plus sommaire et plus souple. Un gué (une chaussée immergée) permettait le franchissement de l'Ouve[26].
Moyen Âge
Le fief d'Étienville, dit Conjonc ou Conjoncs, relevait de la baronnie d'Amfreville. Les armoiries de Conjoncs sont de sable au sautoir d'or cantonné de quatre merlettes d'argent[27].
La seigneurie d'Étienville était depuis 1395, à la suite d'un mariage, entre les mains de la famille de Pierrepont. Parmi celle-ci on trouve Guillaume de Pierrepont († 1622) qui fut l'un des grands chefs huguenots de la région. Au cours du XVIIe siècle, c'est Antoine Garaby de la Luzerne (1617-1679), moraliste et poète, qui est seigneur d'Étienville, où il est inhumé[28].
Époque contemporaine
Lors de la Révolution, le curé d'Étienville, Louis Galliot (1751-1804) refusa de prêter serment et s'exila à Londres, avant de revenir y finir ses jours et où il a sa pierre tombale[28].
Le Bon Sauveur
Le Bon Sauveur à Pont-l'Abbé, hameau à cheval sur les communes de Picauville et d'Étienville, fut un hospice pour pauvres créé en 1837 et dirigé par les sœurs du Bon Sauveur ; au fil des ans s'y ajoutèrent un pensionnat, un institut de sourds et muets, un ouvroir pour jeunes filles et un orphelinat, tous de taille modeste. En 1853, l'établissement est autorisé à accueillir les aliénés. En 1903, l’asile du Bon Sauveur de Pont-l’Abbé-Picauville accueille les aliénés des deux sexes des arrondissements de Cherbourg et de Valognes et les aliénés masculins des arrondissements de Saint-Lô et de Valognes. Il reçoit aussi « une grande partie de ses pensionnaires du département de la Seine, qui chaque année déverse le trop plein de ses asiles dans les établissements de province ayant des places libres » ; l'asile accueille alors 360 hommes et 550 femmes ; parmi elles Liouba Bortniker, d'origine russe et première femme reçue à l'agrégation de mathématiques en 1885. Les archives de l'asile ont disparu lors des bombardements du [29].
Héraldique
| Les armes de la commune d'Étienville se blasonnent ainsi : |
Politique et administration
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
1983 | juin 1995 | Maurice Lemenuel | ||
juin 1995[31] | mars 2014 | Georges René | SE | |
mars 2014[32] | 2020 | Patrice Lucas | SE | Directeur |
2020 | En cours | Matthieu Giovannone | ||
Les données manquantes sont à compléter. |
Le conseil municipal est composé de onze membres dont le maire et deux adjoints[33].
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[35].
En 2021, la commune comptait 384 habitants[Note 3], en augmentation de 2,4 % par rapport à 2015 (Manche : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
560 | 531 | 570 | 665 | 581 | 584 | 567 | 633 | 645 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
602 | 644 | 662 | 643 | 664 | 689 | 737 | 837 | 778 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
861 | 937 | 972 | 906 | 1 014 | 930 | 903 | 412 | 886 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2008 | 2013 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
907 | 277 | 303 | 365 | 392 | 344 | 332 | 328 | 376 |
2018 | 2021 | - | - | - | - | - | - | - |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
369 | 384 | - | - | - | - | - | - | - |
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[37].)
Économie
La commune se situe dans la zone géographique des appellations d'origine protégée (AOP) Beurre d'Isigny et Crème d'Isigny[38].
Lieux et monuments
- Château de la Cour des XVIe, XVIIIe – XIXe siècles. De style post-renaissance avec parc à la française, il est partiellement inscrit aux monuments historiques[39] depuis 1975.
- Ancien presbytère-manoir flanqué de deux grosses tours et ses jardins (2 ha). Monument rare du XVe – XVIe siècle, inscrit également[40], il constitue avec l'église et le château de la Cour un ensemble historique sur le marais de la Douve, au centre du Cotentin, sur le passage d'une voie romaine.
- Église Saint-Georges des XIIIe, XVIIe – XVIIIe siècles, inscrite au titre des monuments historiques[41]. Elle abrite plusieurs œuvres classées au titre objet : Vierge à l'Enfant du XVIIIe, épitaphes en marbre noir de Louise-Isabelle de Garaby et Hervé de Pierrepont[Note 4] du XVIIIe, calice et sa patène du XVIIe, confessionnal daté de 1788, stalles su XVIIIe, statue de saint Georges terrassant le dragon du XVIe, maître-autel du XVIIe, christ en croix du XVIIe[42], ainsi qu'une statue de saint Jean-Baptiste (XIIIe).
- Chapelle du Bon-Sauveur du XXe siècle. Située en partie sur Picauville, elle est inscrite avec son mobilier aux monuments historiques[43]. Détruite en 1944, elle a été reconstruite par les architectes René Levavasseur et H. Lebreton.
- Le monument aux morts, situé route de l'église, à côté de l'église. Il est surmonté de la statue du Poilu au repos, réalisée par Étienne Camus.
Activité et manifestations
Personnalités liées à la commune
Notes et références
Notes
- ↑ Population municipale 2021.
- ↑ Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- ↑ Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- ↑ Hervé de Pierrepont († 1662), chevalier, fut seigneur et patron d'Étienville, Flottemanville, Urville (Hémevez), du Ronceray, et gouverneur pour le roi aux ville et forteresse de Granville.
Cartes
- ↑ IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
- Altitudes, coordonnées, superficie : répertoire géographique des communes 2014 (site de l'IGN, téléchargement du 1er mars 2015)
- ↑ « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
- ↑ a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
- ↑ « Zonages climatiques en France métropolitaine », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- ↑ GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2.
- ↑ « Orthodromie entre Étienville et Sainte-Marie-du-Mont », sur fr.distance.to (consulté le ).
- ↑ « Station Météo-France « Ste Marie du Mo » (commune de Sainte-Marie-du-Mont) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- ↑ « Station Météo-France « Ste Marie du Mo » (commune de Sainte-Marie-du-Mont) - fiche de métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- ↑ « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- ↑ « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- ↑ « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- ↑ « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- ↑ « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
- ↑ Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- ↑ « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- ↑ Jean Adigard des Gautries, Les noms de personnes scandinaves en Normandie de 911 à 1066, Lund, 1954, p. 176.
- ↑ François de Beaurepaire, Les noms de communes et anciennes paroisses de la Manche, Picard, Paris, 1986, p. 117.
- ↑ Julie Fontanel, Le cartulaire du chapitre cathédral de Coutances, Archives départementales de la Manche, Saint-Lô, 2003, p. 252, § 126.
- ↑ Ibid., p. 279, § 149.
- ↑ Paul Le Cacheux, Essai historique sur l'Hôtel-Dieu de Coutances, l'Hôpital général et les Augustines hospitalières depuis l'origine jusqu'à la Révolution, 1895-1899.
- ↑ Pouillé du Diocèse de Coutances, 1332, in Auguste Longnon, Pouillés de la Province de Rouen, Recueil des Historiens de France, Paris, 1903, p. 300C.
- ↑ Compte du Diocèse de Coutances, pour l’année 1351 ou 1352, in Auguste Longnon, op. cit., p. 380F.
- ↑ Eugène Robillard de Beaurepaire et le Comte Auguste de Blangy, Le Journal du Sire de Gouberville (t. II), Mémoires de la Société des Antiquaires de Normandie XXXII, Caen, 1895, p. 264.
- ↑ Guillaume de l'Isle, Carte de Normandie, Paris, 1716.
- ↑ Bernard Jaillot, Le Gouvernement général de Normandie divisée en ses trois généralitez, Paris, 1719.
- ↑ Carte de Cassini.
- ↑ Laurence Jeanne, Laurent Paez-Rezende et Caroline Duclos, « Le pont long antique d'Étienville, un ouvrage d'art monumental à l'architecture unique », dans Laurence Jeanne, Laurent Paez-Rezende, Julien Deshayes, Bénédicte Guillot, et la collaboration de Gaël Léon, ArchéoCotentin, t. 2 : Les origines antiques et médiévales du Cotentin à 1500, Bayeux, Éditions OREP, , 127 p. (ISBN 978-2-8151-0790-7), p. 48-49.
- ↑ Delattre, 2002, p. 80.
- ↑ a et b Gautier 2014, p. 196.
- ↑ http://smf4.emath.fr/Publications/Gazette/2011/129/smf_gazette_129_51-68.pdf.
- ↑ « GASO, la banque du blason - Étienville Manche » (consulté le ).
- ↑ « La commune rend hommage à deux anciens élus », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
- ↑ « Patrice Lucas élu maire », sur Ouest-france.fr (consulté le ).
- ↑ « Étienville (50360) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
- ↑ L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- ↑ Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- ↑ Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- ↑ Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- ↑ AOP Beurre d'Isigny et Crème d'Isigny.
- ↑ « Château », notice no PA00110396, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- ↑ « Presbytère », notice no PA00110398, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- ↑ « Église », notice no PA00110397, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- ↑ Œuvres mobilières à Étienville.
- ↑ « Chapelle du Bon Sauveur », notice no PA50000043, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
Voir aussi
Sur les autres projets Wikimedia :
- Étienville, sur Wikimedia Commons
- Étienville, sur le Wiktionnaire
Bibliographie
- Daniel Delattre et Emmanuel Delattre, La Manche les 602 communes, Grandvilliers, Éditions Delattre, , 280 p. (ISBN 978-2-9159-0709-4), p. 80.
- René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 196.
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Insee (communes)
- Ldh/EHESS/Cassini
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Annuaire du service public français
- Notices d'autorité :
- BnF (données)
- Résumé statistique d'Étienville sur le site de l'Insee
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